lundi 25 juillet 2011

action de communication

Samedi matin, quelques membres du collectif ont organisé un filtrage, relayé par les médias (article du Sud Ouest) rue Amédée St Germain devant la résidence ICF.
Le but était de faire connaitre notre combat et d'expliquer aux riverains les dangers avérés de l’installation de ces antennes dans le quartier.
Malgré  le temps frais, l’opération fût un grand succès.
Nous avons reçu énormément de soutien des passants et des automobilistes, souvent mal, voire pas du tout informés des conséquences d'une exposition aux ondes de ces antennes relais.
Le rapport de l'OMS s'appuyant sur une étude du CIRC classifie officiellement les champs électromagnétique dans la groupe 2, comme potentiellement cancérigène.

extrait du rapport de l'OMS:


Conclusions  
Le Dr Jonathan Samet (Université de Californie du Sud, Etats‐Unis), Président du Groupe de
Travail, a indiqué que « les données, qui ne cessent de s’accumuler, sont suffisantes pour
conclure à la classification en 2B . Cette classification signifie qu’il pourrait y avoir un risque, et
qu’il faut donc surveiller de près le lien possible entre les téléphones portables et le risque de
cancer». 


Dans ce projet, le principe de précaution de la charte de l’environnement semble être balayer sans aucune mesure au profit d’intérêts financiers et au mépris de notre santé et celle de nos enfants.

venez nous rejoindre dans le combat que mène le collectif.

collectif.icf.st.germain@gmail.com

N'oubliez pas de signer la pétition en ligne

1 commentaire:

  1. Il est donc bien écrit : "il faut donc surveiller de près le lien possible entre les téléphones portables et le risque de cancer". Clairement pas le lien possible entre les antennes relais et le risque de cancer.

    Je crois que vous vous trompez de combat : ce ne sont pas les antennes relais de téléphonie mobile qui sont dangereuses, mais bien les téléphones mobiles eux-mêmes, ceux qu'on applique contre son oreille et dont l'émetteur se trouve à moins de 10 centimètres de soi. C'est d'ailleurs cette proximité qui fait l'objet d'études cliniques, pas l'impact des antennes relais. Notez également qu'un téléphone mobile émet d'autant plus fort que l'antenne relais avec lequel il échange des données est éloigné. Mettre des antennes relais à proximité est donc garantir une réduction de la puissance des ondes émises par les téléphones qu'on applique contre son oreille. Sans compter qu'avec un maillage d'antennes relais dense, il est également possible de réduire leur puissance.

    J'ai donc le sentiment que vous agissez à contre courant de l'objectif que vous souhaitez atteindre.

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