Reportage réalise par Marianne Estebe
Nous ne voulons pas d'antennes sur notre toit et nous ferons tout pour qu'elles n'y soient pas. Le collectif de locataires ICF lutte contre un projet d'installation d'antennes relais sur le toit de leur immeuble. Mais surtout pour une règlementation nationale et européenne cohérente autour de la puissance d'émission des antennes relais, au maximum 0.6 Volts par mètre pour descendre à 0.2V/M!!! collectif.icf.st.germain@gmail.com
mercredi 28 décembre 2011
Hors Champs
Un doc-reportage sur notre rassemblement citoyen du 14 décembre 2011 et notre rencontre à l'assemblée nationale avec les député(e)s
Reportage réalise par Marianne Estebe
Reportage réalise par Marianne Estebe
vendredi 16 décembre 2011
Le petit peuple monte monte à Paris......
....et ça fait du bien pour la démocratie.....
La Coordination Nationale des Collectifs avait organisé sous l'impulsion de Marie Bové, un mouvement citoyen de contestation contre la politique du grand n'importe en matière d'implantation des antennes relais et une rencontre avec les député(e)s Michèle Delaunay et Noel Mamère et les attachés parlementaires d’Anny Poursinoff et Francois de Rugy.


Nous étions une quarantaine très déterminés, soit autant qu'à Bruxelles, ce que l'on peut considérer comme un succès.
Nous sommes le rassemblement, nous proposons de nous retrouver tous ensembles, les citoyens, les collectifs, les associations, les élu(e)s autour de la contestation de terrain pour une grande campagne de communication sur le sujet des ondes électromagnétiques et de personnes EHS.
Tous dans les rues, devant nos préfectures, nos mairies, nos marchés de nos territoires le 28 janvier 2012.
L'idée est de se retrouver tous les derniers samedis du mois dans les rues!!!
Stop aux ondes électromaléfrics, l’union fait la force…deux slogans qui nous animeront jusqu’au bout….
jeudi 15 décembre 2011
Le collectif ICF aide le collectif Cursan
Le 15 décembre 2011 "SUD OUEST"
L'antenne de la discorde
L'implantation d'une antenne SFR mobilise les habitants inquiets des incidences.
On connaissait déjà depuis quelques jours le projet d'implantation d'une antenne de téléphonie mobile sur le territoire de la commune. Après avoir exposé le sujet en Conseil municipal, la mairie a donc décidé de convier les administrés en présence d'un technicien de SFR.
Jean-Pierre Seurin a clarifié quelques points de droit concernant le permis de construire, et attiré l'attention des personnes présentes sur le caractère inéluctable à terme d'une telle implantation si un particulier décide de céder une parcelle de terrain à un ou plusieurs opérateurs.
Des échanges vifs
Le premier rang ouvrait rapidement « le feu » en mettant en cause la fiabilité des experts. Un échange un peu vif opposait le représentant SFR et certains membres du public dont le collectif ICF représenté par Mehdi Chanot et Marie Bové élue EELV, venus soutenir les opposants. Aux arguments en faveur de l'installation (obligation de couverture à 99,8 % du territoire fin 2013 ; antenne relais de troisième génération) s'opposaient les effets nocifs des ondes électromagnétiques sur les enfants et la faune (les abeilles ne retrouvent plus leur ruche), les normes sanitaires déterminées par l'Europe, et un décret du 3 mai 2002 relatif à l'exposition du public aux ondes électromagnétiques.
Impact sur l'immobilier
Après un nouvel appel au calme du maire, les questions concernant l'emplacement de cette antenne de 35 m de haut ont fusé. Le terrain en vue se situerait près de la station d'épuration, à 160 m de l'antenne. Ce qui a amené tout naturellement le débat sur l'impact d'une telle réalisation sur l'immobilier : 20 à 40 % de baisse sur le prix de vente des maisons !
Deux tendances s'opposaient alors dans le public : les résolument contre, et ceux qui souhaitent avoir plus d'information pour pouvoir juger, en les rapprochant d'autres sources de préoccupations similaires telles que l'exposition permanente aux radios des pompiers, de la police, des bornes wifi, de la télévision, de la fréquence minimale des ondes émises par une antenne…
En fin de réunion, le collectif de Cursan, représenté par Vincent Cantiron remettait à au maire une pétition comportant 162 signatures d'habitants hostiles au projet : rien n'étant décidé à ce jour.
Après un nouvel appel au calme du maire, les questions concernant l'emplacement de cette antenne de 35 m de haut ont fusé. Le terrain en vue se situerait près de la station d'épuration, à 160 m de l'antenne. Ce qui a amené tout naturellement le débat sur l'impact d'une telle réalisation sur l'immobilier : 20 à 40 % de baisse sur le prix de vente des maisons !
Deux tendances s'opposaient alors dans le public : les résolument contre, et ceux qui souhaitent avoir plus d'information pour pouvoir juger, en les rapprochant d'autres sources de préoccupations similaires telles que l'exposition permanente aux radios des pompiers, de la police, des bornes wifi, de la télévision, de la fréquence minimale des ondes émises par une antenne…
En fin de réunion, le collectif de Cursan, représenté par Vincent Cantiron remettait à au maire une pétition comportant 162 signatures d'habitants hostiles au projet : rien n'étant décidé à ce jour.
NOUS SOUTENONS LE COLLECTIF CURSAN ET NOUS ALLONS ORGANISER DES ACTIONS CONTRE CE PROJET!!!
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